Alors que les négociations climatiques s’intéressent aux écarts d’émissions entre pays, une nouvelle approche de comparaison d’émission de CO2 est proposée : Considérer les niveaux de contribution des individus et des groupes de revenu à la pollution globale et non plus au niveau d’émission nationale. En effet, les individus sont classés selon leur émission propre de CO2, sans considération de leur pays d’appartenance. Pourquoi ce changement ? Aujourd’hui, 10% des émetteurs sont responsables de près de la moitié des émissions mondiales. Suite à cette étude, de nouvelles solutions de répartition des efforts climatiques sont donc proposées.

Lire la suite du communiqué