Après la crise financière de 2008, les régulateurs ont imposé la compensation centrale sur les transactions de produits dérivés standardisés, afin de réduire le risque de contrepartie, c’est à dire le défaut d’une des parties lors de l’exécution d’un contrat.

Toutefois, cette régulation fait apparaître un autre risque, qui ne semble pas assez pris en compte dans les stress tests des régulateurs :  le risque de liquidité

Dans cette vidéo, Rama Cont, directeur de recherche au CNRS, explique pourquoi le risque systémique des chambres de compensation est sous-évalué.