Le président américain Donald Trump a annoncé, le 1er juin dernier, le retrait des États-Unis de l’accord de Paris, ratifié lors de la COP21, en décembre 2015.

Outre le tollé suscité à travers le monde, cette décision pourrait remettre en cause les efforts d’autres pays pour réduire le réchauffement climatique.

La menace climatique est avérée

Pourtant, le risque climatique constitue une réelle menace pour la planète et les générations futures. Et le revirement des États-Unis – deuxième émetteur mondiale de carbone – est inquiétant. D’autant plus que ce pays dispose de ressources fossiles abondantes (charbon, pétrole, gaz).

Ce choix très discutable peut ainsi engendrer des effets à double tranchant : une contagion à d’autres pays qui décideraient aussi de quitter l’accord de Paris ; ou une plus grande implication des autres parties prenantes, en particulier la Chine et l’Union Européenne.

La recherche propose des solutions

Pour y voir plus clair sur les conséquences du retrait américain et alimenter le débat public, Christian de Perthuis, fondateur de la chaire Économie du Climat, a livré son analyse dans un article mis en ligne le 7 juin dernier.

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